Les principaux facteurs d’augmentation mammaire à considérer

L’augmentation mammaire continue d’être l’une des procédures de chirurgie esthétique les plus populaires en France, avec plus de 500 000 interventions effectuées en 2018. C’est une augmentation de 35% par rapport à l’an 2000. En ce qui concerne l’amélioration mammaire, les patientes se sentent souvent confuses ou dépassées lors du choix d’un implant ou de la recherche de différentes techniques chirurgicales. Or, le résultat final de toute procédure d’augmentation mammaire est déterminé par une série de choix que la patiente (avec le conseil de son chirurgien) fera. Voici les principaux facteurs à considérer en ce qui concerne l’augmentation mammaire à Lyon.

La taille

La taille des implants mammaires est l’une des caractéristiques les plus importantes qui déterminent le résultat final d’une procédure d’augmentation mammaire à Lyon. La taille des implants mammaires est mesurée en centimètres cubes, généralement de 200cc à 600cc. Le choix de la taille des implants dépend généralement de l’anatomie du patient et du résultat final souhaité. Beaucoup de femmes sont à la recherche d’une apparence améliorée sans paraître trop grandes (anormalement). Pour obtenir ce résultat, il est très important que le chirurgien plasticien informe le patient de la manière dont chaque taille d’implant modifiera son physique. Une des meilleures façons d’y parvenir consiste à essayer différents calibreurs d’implant afin de voir à quoi ressemblera chaque taille. De plus, les patients doivent demander à voir des images avant et après des patients précédents.

Silicone vs salin

La deuxième grande décision concernant les implants est le choix entre des implants salins ou en silicone. Les implants de solution saline sont remplis de solution saline stérile (eau salée) qui est remplie par le chirurgien après la pose. Cette technique est pratique car cela permet à votre chirurgien de configurer les implants pour obtenir le résultat exact souhaité du patient. De plus, l’incision nécessaire pour la pose est légèrement inférieure à celle requise pour les implants en silicone. Ces derniers sont fabriqués avec un gel de silicone conçu pour imiter étroitement le toucher de la graisse humaine. La silicone a un aspect et une sensation plus naturels. Contrairement aux implants salins, les implants mammaires en silicone sont placés dans le corps entièrement remplis. Plus d’informations sur le site augmentation-mammaire-lyon.com

L’incision chirurgicale

Il existe quatre types d’incisions : l’augmentation mammaire transaxillaire, inframmaire, aréolaire et trans-ombilicale (également appelée TUBA). Le périaréolaire et inframammaire sont les deux incisions les plus courantes et la plupart des chirurgiens connaissent bien ces deux types. Dans l’incision périaréolaire, le chirurgien fait une incision sur la moitié inférieure de l’aréole, qui cache à son tour la cicatrice. Ce type d’incision peut avoir un résultat optimal lorsqu’il est associé au lifting mammaire ou à la mastopexie. Celles-ci sont souvent recommandées aux patients présentant des plis inframammaires mal définis ou chez les sujets prédisposés aux cicatrices hypertrophiques (cicatrices épaisses surélevées). Lors de la réalisation d’une incision inframammaire, le chirurgien crée une incision dans le pli sous le sein, lui permettant un accès maximum lors de la pose des implants. Ce type d’incision est idéal pour les implants en silicone car il expose mieux l’interface entre le tissu mammaire et le muscle pectoral. C’est l’approche la plus pratiquée aux États-Unis et elle convient particulièrement aux patients présentant des plis inframmaires bien formés.

Les incisions TUBA et transaxillaires sont beaucoup moins courantes et elles ne peuvent être réalisées que lorsque des implants salins sont utilisés. Dans l’incision transsaxillaire, le chirurgien crée une petite incision au niveau de l’aisselle, disséquant également un tunnel pour placer l’implant. Ce type de technique ne crée pas de cicatrice sur le sein, mais provoque plus de risque d’asymétrie inférieure des implants.

 

Laisser un commentaire